Les impacts des catastrophes naturelles
Entre le mois de mai et juillet, des séances de grêle et des tempêtes ont eu lieu en France. Ce qui a couté 6,4 milliards d’euros comma l’a révélé la fédération de l’AFP. Puis les effets de la sécheresse sur les maisons individuelle qui n’a pas épargné l’enveloppe proche des 2,5 millions d’euros.
D’ailleurs, en France, environ 54 % des maisons individuelles sont dans une zone d’exposition moyenne ou forte au retrait-gonflement des sols argileux ou RGA. Un phénomène qui résulte à l’enchaînement de la sécheresse l’été et l’humidification des sols en automne ou en hiver cause d’importants dégâts.
L’année 2022 pire année
Il s’avère que 3,3 millions de maisons, soit approximativement 16 %, sont situés en zone de risque fort. Après les inondations et les feux de forêt lors de l’été, ce montant marque une augmentation significative par rapport à la période 2017-2021. Ces phénomènes climatiques ont même couté 3,5 milliards d’euros par an.
L’année 2022 a toutefois été la pire année depuis 1999 qui a été marqué par les tempêtes Lothar et Martin. La fédération professionnelle des assureurs ne semble pas très optimiste pour les années à venir, suite aux effets du changement climatique. La facture cumulée devrait dépasser les 140 milliards d’euros pour les 30 prochaines années.