Alors que Vanessa Paradis tourne pour la pièce Maman de Samuel Benchetrit, l’actrice a accordé une entrevue avec People Act Magazine. Dès ses premiers mots, elle a eu du mal à expliquer pourquoi elle attire tant de bonnes grâces. Mais au fur et à mesure qu’elle parle, on comprend plus ou moins que l’univers du cinéma est parfois lourd à porter.
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« Je reste dépendante du désir des autres »
Dans son discours, Vanessa Paradis affirme qu’elle avait choisi d’appartenir au monde du septième art. Elle confie également que c’est l’envie et la volonté de dépasser ses limites qui constituent son « alliée la plus précieuse ». Pourtant, la mère de Jack et de Lily-Rose ne voit pas son image comme une muse, et ce, pour des raisons qui ressemblent à ce qu’on croit être la face sombre du cinéma.
« Une muse, c’est une femme à la manœuvre, qui inspire parce qu’elle agit », dit-elle.
Toutefois, Vanessa Paradis avoue ne jamais avoir fait preuve de proactivité dans son rôle d’actrice, opérant aux dépens de l’équipe de production. Il est vrai que les gens sont fascinés par sa présence, « mais ça ne débouche sur rien ». « C’est parfois dur », conclut-elle.
