Personne ne connaît vraiment l’étendue des blessures de Schumacher suite à sa chute en décembre 2013. Souffrant d’un traumatisme crânien et dans le coma, il a nécessité une intervention neurochirurgicale d’urgence. Les secouristes ont été rapides à agir et à prodiguer des soins à la légende de la Formule 1.
Un secret très bien gardé
L’état de santé de Schumacher est l’un des secrets les mieux gardés, et depuis sa chute en décembre 2013, personne ne sait réellement dans quel état il se trouve mentalement et physiquement. Victime d’une terrible chute alors qu’il glissait sur les pistes du côté de Méribel, il avait subi un traumatisme crânien et avait été plongé dans le coma.
Les services d’urgence l’avaient rapidement pris en charge et il avait été transporté à l’hôpital de Grenoble. L’opération a été réalisée par les médecins sur place, mais Schumacher est resté dans le coma jusqu’au 16 juin 2014. Pendant ce temps, l’hôpital a été assiégé par des journalistes désireux d’en savoir plus sur son état.
EXCLU. Olivier Véran : cette demande drastique à propos de l’hospitalisation de Michael Schumacher https://t.co/JyiJSwgU7N
— Closer (@closerfr) September 29, 2022
Olivier Véran faisait partie de l’équipe soignante à l’époque
Un des médecins qui étaient présents à ses côtés à l’époque étaient très connus des Français. Olivier Véran, homme politique de 42 ans, assurait des consultations à l’hôpital de Grenoble à cette époque.
Dans une interview accordée à Closer aujourd’hui, il revient sur cette époque mouvementée et livre son analyse sur le battage médiatique qui a suivi l’accident. “C’était tellement exagéré. Il y a même eu un journaliste étranger qui s’est déguisé en prêtre pour entrer dans sa chambre”, raconte-t-il.
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Une décision radicale
Le porte-parole du gouvernement d’Emmanuel Macron a pris une décision radicale pour se soustraire à la pression des médias. Il a déclaré avoir demandé au service de neurologie de ne rien communiquer sur le dossier médical de Michael Schumacher. Voyant la pression médiatique, il en a conclu que cette affaire continuerait à faire couler beaucoup d’encre.